incommunicabilite

/ɛ̃.kɔ.my.ni.ka.bi.li.te/ Nom féminin

1. Caractère de ce que l'on ne peut communiquer.

2. Impossibilité de communiquer avec autrui.

Vendredi 15 janvier 2010 à 4:03

J'aimerais un traitement contre le vide.

Vendredi 15 janvier 2010 à 3:45

Il est évident qu'écrire ici revient à envoyer des lettres sans timbres en n'écrivant que le nom du destinataire et pas l'adresse.

Jeudi 14 janvier 2010 à 6:32

L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt.

Si je pouvais déjà ne serait-ce que contrôler mon présent par moments, ça serait pas mal.
Je laisse l'avenir à mon Moi futur, il saura quoi en faire.

Jeudi 14 janvier 2010 à 2:21

La récursivité arrive à me donner l'impression que je fais pire que de tourner en rond.

Jeudi 14 janvier 2010 à 2:20

A faire :

  • Une liste de choses à faire.

Jeudi 14 janvier 2010 à 2:17

Il me faudrait du repos en gélules.

Jeudi 14 janvier 2010 à 2:13

"Storm.. in the morning light
I feel
No more can I say
Frozen to myself
"
Portishead - Roads

Mercredi 13 janvier 2010 à 5:01

Mais finalement je vais plutôt bien.
Pour quelqu'un qui a un grand vide dans la cage thoracique.

Sigh.

Mercredi 13 janvier 2010 à 4:49

Les gens passent, disparaissent parfois. On retombe sur leurs traces et elles ne mènent plus nulle part.

Mercredi 13 janvier 2010 à 4:45

J'ai relu tout mon autre blog. Trois ans de ma vie en fragments sans véritables liens.
J'ai l'impression que je ne suis plus le même qu'avant de m'être replongé là dedans.

Mardi 12 janvier 2010 à 2:19

Il est amusant de constater que lors d'un questionnaire médical on demandera souvent "Avez vous déjà été traité pour dépression?" et non pas "Est-ce que vous êtes heureux?". Il faut croire que le bonheur, à l'inverse du malheur n'est pas médicalement quantifiable.

Mardi 12 janvier 2010 à 2:16

C'est l'histoire d'un schizophrène qui se fait cocu tout seul.

Mardi 12 janvier 2010 à 1:38

Le tout est de faire semblant de ne pas savoir que vous êtes là.

Mardi 12 janvier 2010 à 1:37

Peu de choses me donnent envie de pleurer comme "All the world is green" de Tom Waits. A chaque fois je repense au Scaphandre et le papillon.
J'ai juste envie de me recroqueviller dans un coin, à chialer comme un con, devenir minuscule entre le bras de quelqu'un et me laisser aller.
Et puis au lieu de ça je me lève, je sors du cinéma en rangeant mes membres que je ne sais plus démêler comme il faut.
En espérant tomber dans les escaliers pour avoir une excuse.

Mardi 12 janvier 2010 à 1:22

L'absence est une pute.
Mais elle ne me laisse jamais tomber.

Mardi 12 janvier 2010 à 1:04

Dur retour à la réalité que celui qui vous fait voir comme des étrangers des gens que vous n'avez pas vus pendant à peine un mois.

Lundi 11 janvier 2010 à 3:40

Ma tête est pleine, cette case est vide.
Et la phrase ci-dessus a cessé d'avoir du sens au moment où je l'ai écrite.

Absurde. Comme tout le reste.

Lundi 11 janvier 2010 à 3:32

#0 | #36 | #37 | #148

Mes plus grandes obsessions sont des noms féminins.
Il n'y a pas de hasard.

Lundi 11 janvier 2010 à 2:48

Il faudrait ériger un monument aux victimes de l'Entropie.

Lundi 11 janvier 2010 à 2:40

L'avantage quand on ne fait rien pour réussir, c'est qu'on n'est jamais surpris de se planter.

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