incommunicabilite

/ɛ̃.kɔ.my.ni.ka.bi.li.te/ Nom féminin

1. Caractère de ce que l'on ne peut communiquer.

2. Impossibilité de communiquer avec autrui.

Dimanche 31 octobre 2010 à 14:54

Je suis certain que les effets secondaires signifient qu'on paie toujours  le fait de ne pas être soi-même.

Vendredi 29 octobre 2010 à 13:58

L'absence d'absolu me désole

oui mais

Les livres ne se sont jamais lus seuls.
Un tableau qui tombe dans la forêt sans personne pour l'entendre, n'a pas de couleur.
La musique n'est rien de plus que du bruit sans auditeurs.

Vendredi 29 octobre 2010 à 5:02

Si je ne me retrouve pas, je ne serai pas seul à me perdre.

Jeudi 28 octobre 2010 à 4:50

Cesser de toujours tendre au chaos.

Jeudi 28 octobre 2010 à 0:25

Je suis ce marin triste qui pense à sa noyade
alors qu'on le retient d'une main qui, calme, mais ferme
le maintient à la surface ;
ses larmes viennent néanmoins la troubler.

Jeudi 28 octobre 2010 à 0:19

Mais je ne sais pas ce qui ne va pas, voilà ce qu'il y a.

Lundi 25 octobre 2010 à 3:34

J'aimerais être suffisamment naïf pour croire que le monde n'est pas réel.

Ou mieux

J'aimerais être suffisamment naïf pour ne pas avoir besoin de vouloir ne pas y croire.

Lundi 25 octobre 2010 à 1:51

Il est malheureux qu'un dédoublement de personnalité ne permette pas l'uchronie.

Dimanche 24 octobre 2010 à 16:12

Partir, c'est mourir un peu
revenir, c'est creuser sa tombe.

Dimanche 24 octobre 2010 à 5:05

compréhension ≠ empathie

Je sais que tu essaies
là où l'autre ne tente même pas

et pourtant...

Dimanche 24 octobre 2010 à 2:29

Tout ça s'est perdu.

Entre les questions que tu ne poses pas
et celles auxquelles tu ne veux pas répondre.

Samedi 23 octobre 2010 à 19:53

Je ne me parle plus, parce que nous ne sommes jamais d'accord.

Samedi 23 octobre 2010 à 19:49

C'est ce que j'ai trop regardé derrière moi sans reconnaitre mes traces.
Maintenant je ne sais plus d'où je viens et j'ai trop tourné en rond
pour savoir où je vais.

Samedi 23 octobre 2010 à 19:41

Jusqu'à ce qu'on se rende compte que demain, c'était hier.

Jeudi 21 octobre 2010 à 1:07

Parfois je me dis qu'un jour je mourrai vraiment de fatigue.

Jeudi 21 octobre 2010 à 1:05

Seul, il n'est qu'à moitié lui-même
Ensemble, il n'est qu'un autre

Mercredi 20 octobre 2010 à 5:43

Tellement inadapté qu'il ne s'est toujours pas accoutumé à son incapacité à vivre normalement.

Mercredi 20 octobre 2010 à 0:21

Remplir les quotas
toujours la même, triste histoire.

Mercredi 20 octobre 2010 à 0:20

vivre ≠ exister

Mercredi 20 octobre 2010 à 0:16

Le doute est une petite maladie insidieuse qui ne ressemble pas à grand chose au départ
mais finit par tout faire pourrir sur pied si on n'y fait pas attention.

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