incommunicabilite

/ɛ̃.kɔ.my.ni.ka.bi.li.te/ Nom féminin

1. Caractère de ce que l'on ne peut communiquer.

2. Impossibilité de communiquer avec autrui.

Mercredi 20 janvier 2010 à 4:09

Rien de ce qui ne m'importe vraiment n'est dénombrable.

Mercredi 20 janvier 2010 à 4:06

A n'avoir envie d'être que là où elle est et à n'être que là où je suis
J'en viens vraiment à avoir l'impression de n'être nulle part

Mardi 19 janvier 2010 à 14:20

A bien y réfléchir ce n'est pas un hasard si, étant gosse j'ai voulu un microscope, des jumelles et une longue vue.
Puis un appareil photo.
Je suis fasciné par ce qui est indiscernable à l'œil nu. Ce qui se cache derrière l'apparente réalité.

C'est aussi valable pour les gens, je cherche toujours à observer derrière leur carapace.
Et moins on en sait au premier abord, plus j'ai envie de comprendre.

Mardi 19 janvier 2010 à 9:00

"Regardez-moi", disait-il. "Je suis l'homme qui se fout du regard des autres".

Mardi 19 janvier 2010 à 8:56

Plus le temps passe, plus j'ai tendance à considérer la capacité à apprécier le silence comme étant une des qualités fondamentales à avoir pour pouvoir prétendre appartenir au genre humain.

Mardi 19 janvier 2010 à 8:50

J'avais oublié d'écrire ici, j'ai mal dormi.
Si j'ai besoin de ça en plus des anxiolytiques, ça va finir par devenir pesant.

Mardi 19 janvier 2010 à 8:48

How about a nice cup of SHUT THE FUCK UP?

C'est ça que j'aurais du lui répondre.
A la place, je me suis arrangé pour qu'elle n'ait plus envie de me parler.

Très bien, même résultat. Mais c'est tellement moins libérateur.

Lundi 18 janvier 2010 à 3:57

C'est bien beau de tenir un blog sur l'incommunicabilité, mais quand on n'arrive vraiment pas à dire ce qui compte, on est bien avancé.

Lundi 18 janvier 2010 à 3:23

Les fantômes du passé son censé vous hanter, pas vous ennuyer à mourir.
Je vais me faire installer des murs en plomb, avec un peu de chance ça suffira.

Lundi 18 janvier 2010 à 3:10

Pourquoi vouloir mettre ses propres mots sur ce que tout le monde sait déjà?

Dimanche 17 janvier 2010 à 8:35

Le problème n'est pas d'être heureux.
Mais de le rester.

Dimanche 17 janvier 2010 à 8:34

Parfois je me sens pris d'une incroyable envie de raconter une foule de choses. M'épancher, ce genre de conneries.
Mais comme je ne sais pas par où commencer, je ne dis rien.

Dimanche 17 janvier 2010 à 8:25

J'aimerais bien connaître les motivations profondes qui font que certaines personnes veulent reprendre contact avec moi.
N'y a-t-il pas suffisamment d'êtres humains sur terre pour servir d'éponge à leur ego?

Dimanche 17 janvier 2010 à 8:10

" To die, to sleep;
To sleep: perchance to dream: ay, there's the rub;
For in that sleep of death what dreams may come
When we have shuffled off this mortal coil
"
William Shakespeare - Hamlet 3/1

Samedi 16 janvier 2010 à 5:42

Le temps, comme l'argent, me file entre les doigts.

Samedi 16 janvier 2010 à 2:32

C'est aussi le problème du recul, au bout d'un moment on finit par se casser la gueule.
Ou revenir sur ses pas.

Samedi 16 janvier 2010 à 2:31

La notion de fin n'est bien souvent exacte que si on regarde les choses par le petit bout de la lunette.
Rien ne termine jamais, même l'univers est en expansion constante.

Vendredi 15 janvier 2010 à 4:34

La subjectivité, c'est le meilleur moyen de penser qu'on ne va pas droit dans le mur.
Uniquement parce qu'on le longe de très près sans s'en rendre compte.

Vendredi 15 janvier 2010 à 4:21

Point rassurant : je ressens le besoin de refaire des photos.
Il me reste des envies, ouvrons le champagne.

Vendredi 15 janvier 2010 à 4:08

Mes certitudes sont approximatives.

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