incommunicabilite
/ɛ̃.kɔ.my.ni.ka.bi.li.te/ Nom féminin
1. Caractère de ce que l'on ne peut communiquer.
2. Impossibilité de communiquer avec autrui.
Lundi 30 novembre 2009 à 3:28
Et si c'était faux?
Métaphysique versus romans de gare.
Personne ne verra la différence.
Métaphysique versus romans de gare.
Personne ne verra la différence.
Lundi 30 novembre 2009 à 3:24
Plus je m'exprime et plus on m'écoute.
Mais plus je m'exprime et plus je me rends compte que je n'arrive pas à dire ce que je veux.
Qu'on ne comprendrait de toute façon pas.
Mais plus je m'exprime et plus je me rends compte que je n'arrive pas à dire ce que je veux.
Qu'on ne comprendrait de toute façon pas.
Dimanche 29 novembre 2009 à 21:20
Mais aussi nombreux que puissent être mes modes d'expression je n'arriverai jamais à tout dire
et je ne sais pas bien si je dois en être infiniment heureux
ou infiniment triste.
et je ne sais pas bien si je dois en être infiniment heureux
ou infiniment triste.
Dimanche 29 novembre 2009 à 16:34
Le pire avec le désœuvrement c'est de se rendre compte qu'en vérité on n'a pas envie de faire quoi que soit. Pas qu'on n'a rien à faire.
Mais de mal le vivre malgré tout.
Mais de mal le vivre malgré tout.
Dimanche 29 novembre 2009 à 5:59
Parfois, j'ai l'impression qu'on me comprend.
Parfois, j'ai l'impression de comprendre les gens.
Mais ça n'arrive presque jamais en même temps.
Alors au final, plus personne ne comprend rien.
Parfois, j'ai l'impression de comprendre les gens.
Mais ça n'arrive presque jamais en même temps.
Alors au final, plus personne ne comprend rien.
Dimanche 29 novembre 2009 à 5:50
Je ne suis pas ce que les autres croient.
Pire.
Je ne suis pas ce que je crois être.
Pire.
Je ne suis pas ce que je crois être.
Dimanche 29 novembre 2009 à 5:46
J'ai tellement peur d'être blessé et tellement peur de blesser que bien souvent je reste sur place sans vraiment savoir quoi faire.
Samedi 28 novembre 2009 à 21:39
J'aimerais m'épancher pendant des heures.
Que m'arrivera-t-il quand mes mots, comme mes larmes, ne couleront plus?
Que m'arrivera-t-il quand mes mots, comme mes larmes, ne couleront plus?
Samedi 28 novembre 2009 à 15:55
Je voudrais des raisons de vivre plutôt que des raisons de ne pas mourir.
Samedi 28 novembre 2009 à 7:11
La fatigue est douloureuse, tant physiquement que psychologiquement.
Mais je suis à peine soulagé d'aller me coucher.
Parce que j'ai peur de ce qui suit.
Mais je suis à peine soulagé d'aller me coucher.
Parce que j'ai peur de ce qui suit.
Samedi 28 novembre 2009 à 5:12
De l'angoisse d'aller mieux parce qu'on sait que tôt ou tard ça ira mal.
Samedi 28 novembre 2009 à 2:43
Je sais que le monde n'est pas ironique, que rien n'est prédéterminé. Qu'il n'y a que des hasards et des résultats d'actions.
Mais le jour où j'arrêterai de rire de "l'ironie" du monde.
Je me foutrai en l'air.
Parce que plus rien n'aura de sens.
Mais le jour où j'arrêterai de rire de "l'ironie" du monde.
Je me foutrai en l'air.
Parce que plus rien n'aura de sens.
Vendredi 27 novembre 2009 à 15:54
Tout le monde part.
Je déteste avoir le rôle de "celui qui reste".
Je déteste avoir le rôle de "celui qui reste".
Vendredi 27 novembre 2009 à 4:10
Plus j'écris et moins j'ai l'impression de réussir à en dire.
Sans doute parce qu'en me relisant je n'apprends rien.
Sans doute parce qu'en me relisant je n'apprends rien.
Vendredi 27 novembre 2009 à 4:08
J'ai rêvé d'elle. C'était agréable.
Et elle, est-ce qu'elle rêve de moi?
Probablement pas.
Je crois que je ne suis jamais aussi seul que quand je rêve de quelqu'un.
Et elle, est-ce qu'elle rêve de moi?
Probablement pas.
Je crois que je ne suis jamais aussi seul que quand je rêve de quelqu'un.
Vendredi 27 novembre 2009 à 3:22
Parfois je me dis que je ne me rend pas compte de la chance que j'ai que personne ne puisse lire dans mes pensées.
Vendredi 27 novembre 2009 à 1:36
C'est mon désamour du choix qui me fait le plus aimer la théorie des mondes possibles.
Jeudi 26 novembre 2009 à 11:20
Pourquoi suis-je plus fatigué quand je me lève que quand je me couche?
Quelque chose m'échappe.
Quelque chose m'échappe.
Mercredi 25 novembre 2009 à 4:05
Je voudrais être percutant. Ce qui finira par arriver. Mais j'ai bien peur que la seule chose que je percute jamais soit un putain de mur.
Mercredi 25 novembre 2009 à 3:38
Et l'immédiate pensée, quand son sourire quitta ma vue, qu'aussi puissant que soit notre esprit, il ne peut retenir l'essence de la beauté, du calme, de l'émotion réelle.