incommunicabilite

/ɛ̃.kɔ.my.ni.ka.bi.li.te/ Nom féminin

1. Caractère de ce que l'on ne peut communiquer.

2. Impossibilité de communiquer avec autrui.

Jeudi 7 janvier 2010 à 6:09

Ma notion du pire n'est franchement pas la meilleure.
Bien au contraire.

Mais dans ce cas, qu'est-ce que j'en sais?

Jeudi 7 janvier 2010 à 6:07

Dormir c'est surfait, tout le monde dort.
Je veux hiberner.

En voilà une idée qui a de l'avenir.

Jeudi 7 janvier 2010 à 5:41

Incomplétude
/ɛ̃.kɔ̃.ple.tyd/ Nom Féminin

1. Caractère, état de ce qui est incomplet, de ce à quoi il manque quelque chose.
2. Euphémisme utilisé pour décrire l'état de quelqu'un dont le cœur ne bat plus qu'une fois sur deux.

Mercredi 6 janvier 2010 à 23:33

Je marchais prudemment sur le sol verglacé.
Mais au fond, je n'ai fait que tomber et me cogner contre moi-même.

Mercredi 6 janvier 2010 à 23:27

J'ai en moi un vide immense qui a la forme de son sourire.

Mercredi 6 janvier 2010 à 12:30

And there starts the neverending spiral.

Mardi 5 janvier 2010 à 18:45

L'exactitude sévère du temps qui passe me donne parfois des envies d'anarchie.

Lundi 4 janvier 2010 à 6:31

J'ai parfois peur d'être cette tasse un peu fêlée qu'on utilise pour boire son thé le matin, on l'aime bien même si elle n'est pas vraiment belle , on s'y est habitué. Un jour elle casse, on la replace par une tasse Ikea, ça fait bizarre au début puis on s'y fait.

Il faudrait inventer un mot pour désigner cette impression.

Lundi 4 janvier 2010 à 6:00

Mon problème c'est que même mes sentiments ont des terminaisons nerveuses.

Lundi 4 janvier 2010 à 5:56

Si même ici je me réfugie dans les doubles-sens, je ne sais pas ce qu'il me reste à faire.
Probablement m'arracher le cœur, le balancer sur une feuille blanche, signer et partir.

Lundi 4 janvier 2010 à 5:52

Choisir ses mots pour que ses yeux brillants le soient d'un sourire et non de larmes.

Je pleure à l'intérieur parfois. Mon sourire me déchire la peau.

Lundi 4 janvier 2010 à 5:49

Je suis cet homme qui marche vers un énorme trou dans le sol, je sais qu'il n'existe pas encore mais qu'il sera là, creusé par l'absence. Je n'ai d'autre choix que de m'y jeter. Fermer les yeux et me sentir tomber.
Et attendre de pouvoir attraper sa main.

Revivre.

Dimanche 3 janvier 2010 à 6:59

Je n'ai pas besoin de sommeil. J'ai besoin de ses bras.

Dimanche 3 janvier 2010 à 6:08

Je finirai probablement comme tous ces fous caricaturaux qui recouvrent leurs murs de gribouillis incompréhensibles.
Je me demande si on peut envoyer un mur à un éditeur. Dans un joli paquet.

Dimanche 3 janvier 2010 à 6:01

Ce n'est jamais pareil et pourtant, systématiquement me revient ce titre, depuis des années.
"Si tu savais comme".

Mercredi 30 décembre 2009 à 20:38

Je n'ai rien à dire.
Ah, si : je vais incroyablement bien.

Mardi 29 décembre 2009 à 3:49

Confusément, je sais que je ne m'adresse pas à la bonne personne.

Mardi 29 décembre 2009 à 1:54

Plus je vais bien maintenant, plus je prends de la hauteur pour la chute à venir.
Et je donne même un coup d'accélérateur.

Mardi 29 décembre 2009 à 1:37

Tout ça est très bien tu sais. Je ne me/te comprend pas.
Mais ça n'a pas d'importance.
Parlons encore.

Lundi 28 décembre 2009 à 5:10

Comment quelqu'un d'aussi amorphe que moi peut-il avoir l'impression d'avoir autant d'énergie à libérer?
Vaste blague.

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