incommunicabilite
/ɛ̃.kɔ.my.ni.ka.bi.li.te/ Nom féminin
1. Caractère de ce que l'on ne peut communiquer.
2. Impossibilité de communiquer avec autrui.
Samedi 20 mars 2010 à 4:10
Écrire c'est aussi refuser même la mort de ses propres mots.
Tout tourne toujours autour de l'illusion de l'immortalité.
Tout tourne toujours autour de l'illusion de l'immortalité.
Vendredi 19 mars 2010 à 2:12
Incohérence
/ɛ̃.kɔ.e.ʁɑ̃s/
Nom féminin
1. Caractère de ce qui est incohérent, illogique
2. Terme décrivant l'attitude d'une personne empruntant deux chemins à la fois avec une seule paire de jambes.
/ɛ̃.kɔ.e.ʁɑ̃s/
Nom féminin
1. Caractère de ce qui est incohérent, illogique
2. Terme décrivant l'attitude d'une personne empruntant deux chemins à la fois avec une seule paire de jambes.
Vendredi 19 mars 2010 à 2:05
Chercher la compréhension et ne trouver, dans le meilleur des cas, que de l'empathie.
Vendredi 19 mars 2010 à 1:47
Un jour je trouverai quelque chose à la hauteur de mes espérances
Pour pouvoir monter dessus et m'en jeter dans le vide
Tué par le premier degré.
Pour pouvoir monter dessus et m'en jeter dans le vide
Tué par le premier degré.
Jeudi 18 mars 2010 à 3:12
Du mouvement comme substitut à l'existence.
Ou comment oblitérer le vide rien qu'en le déplaçant.
Ou comment oblitérer le vide rien qu'en le déplaçant.
Jeudi 18 mars 2010 à 2:01
Les humains sont assez intelligents pour savoir que le statut de bête sauvage est une choses abjecte.
Mais trop stupides pour se rendre compte qu'ils ne font que faire semblant de ne plus en être.
Mais trop stupides pour se rendre compte qu'ils ne font que faire semblant de ne plus en être.
Jeudi 18 mars 2010 à 1:53
La beauté chaotique des endroits ravagés me rappelle que le hasard est souvent magnifique
quand le prémédité se contente d'être agréable.
quand le prémédité se contente d'être agréable.
Mercredi 17 mars 2010 à 3:17
On a tous notre ticket pour la file d'attente.
Certains tentent de tricher et s'écrasent dans les coins.
Personne ne les ramasse de peur de perdre sa place.
Certains tentent de tricher et s'écrasent dans les coins.
Personne ne les ramasse de peur de perdre sa place.
Mercredi 17 mars 2010 à 3:15
Je pense en général tout ce que je dis sur le moment.
Ma mémoire est évidemment d'un autre avis.
Ma mémoire est évidemment d'un autre avis.
Mercredi 17 mars 2010 à 3:14
A force de chercher à me dépasser j'ai l'impression que je n'arrive pas à me suivre.
Et pourtant je ne vais nulle part.
Et pourtant je ne vais nulle part.
Mercredi 17 mars 2010 à 3:13
J'étais assis là à me dire combien le fait de respirer était répétitif et ennuyeux.
Et sinon quoi de neuf?
Et sinon quoi de neuf?
Mardi 16 mars 2010 à 3:10
Murmurer ce qu'on aimerait hurler et qu'on n'arrive pas à seulement dire.
Mardi 16 mars 2010 à 3:07
Ce n'est pas que je ne veux pas te voir.
C'est que je préfèrerais te revoir.
Tout est dans la nuance, comme toujours.
C'est que je préfèrerais te revoir.
Tout est dans la nuance, comme toujours.
Lundi 15 mars 2010 à 2:34
Avec ces sourires morts sur le sol.
J'aurais du faire des tas dans un coin quelque part.
Puis les faire brûler avec un allumette.
Et rire un peu plus fort de tout ce qui sépare.
J'aurais du faire des tas dans un coin quelque part.
Puis les faire brûler avec un allumette.
Et rire un peu plus fort de tout ce qui sépare.
Lundi 15 mars 2010 à 2:25
Si je ne souris qu'à moitié c'est probablement parce que je ne suis qu'à moitié heureux.
Lundi 15 mars 2010 à 2:07
The problem when there is nowhere you really belong is that you always want to be somewhere else.
Vendredi 12 mars 2010 à 2:06
Avancer dans la vie.
Ça reste un synonyme politiquement correct de "foncer dans le mur".
Ça reste un synonyme politiquement correct de "foncer dans le mur".
Jeudi 11 mars 2010 à 1:54
Je suis une coquille vide qui se fissure sous son propre poids.
Jeudi 11 mars 2010 à 1:43
Mes pensées parfois semblent plus denses que l'air.
Je me noie rien qu'à l'idée d'ouvrir la bouche.
Je me noie rien qu'à l'idée d'ouvrir la bouche.
Mercredi 10 mars 2010 à 2:54
J'écris parce que j'ai peur de ce qui arriverait si je ne le faisais plus.